Gestion de l’euro : un retour au réel s’ímpose
29 octobre 2014
Entre le Président de la Banque de France qui explique que la Banque Centrale Européenne (BCE) est « très mal à l’aise » avec le niveau d’inflation et son économiste en chef, le Belge Peter Praet qui s’inquiète aussi du manque d’inflation et réitère la possibilité de mesures non conventionnelles pour soutenir l’économie, on commence à comprendre que la situation est très grave. Car, dans le langage soyeux des banquiers centraux, exprimer un « mal à l’aise » revient à dire qu’on s’attend à un désagrément (et c’est un euphémisme). Continuer la lecture…