L’initiative anti-maliciels « No More Ransom » étendue à 13 corps de police nationaux supplémentaires

18 octobre 2016

Trois mois à peine après le lancement fructueux du projet No More Ransom, les autorités d’application de la loi de 13 pays supplémentaires se sont affiliés pour lutter contre les rançongiciels en collaboration avec le secteur privé. Entre-temps, l’initiative mondiale a permis à plus de 2.500 victimes de décrypter leurs données et d’économiser un total de 1,35 million d’euros de rançon. Continuer la lecture…

KBL epb étend ses activités au Royaume-Uni grâce à l’acquisition de The Roberts Partnership

16 octobre 2016


KBL European Private Bankers (KBL epb), maison-mère de la banque privée bruxelloise Puilaetco Dewaay, a annoncé la signature d’un accord pour l’achat par sa filiale britannique Brown Shipley de The Roberts Partnership, une société de gestion et de planification patrimoniale établie au Royaume-Uni. Continuer la lecture…

Sécurité : Les bots se sont accaparés jusqu’à 43 % du trafic mondial Internet au cours du 2e trimestre

10 octobre 2016

Akamai Technologies, spécialiste mondial dans le domaine des services Content Delivery Network, a présenté son rapport « Etat de la sécurité Internet » pour le 2e trimestre 2016. Le rapport propose un bilan détaillé des menaces mondiales pesant sur la sécurité dans le cloud et des activités malveillantes qui ont pour cadre l’Akamai Intelligent Platform. Le rapport met plus particulièrement l’accent sur les attaques DDoS, celles visant les applications Web et le trafic de bots. Continuer la lecture…

Bruno Colmant

Bruno Colmant

Professeur d'économie à l'université. Membre de l'Académie royale de Belgique. Stratège. Écrivain. Conférencier.

Impressions sur les restructurations bancaires

08 octobre 2016

Les banques de détail (c’est-à-dire les banques à larges réseaux) ne sont pas dans une situation rayonnante. Les bilans sont lourds, le circuit monétaire est visqueux, les taux d’intérêts sont bas, voire négatifs, et érodent la rentabilité, tandis que la digitalisation, couplée à l’automaticité des transactions, remplace progressivement le service humain. Ces banques de détail sont donc incontestablement en restructuration larvée, sans compter les risques systémiques qui les affectent. En effet, si les banques sont en meilleure santé, certaines institutions sont fragilisées, avec de potentiels effets de contamination. Je pense, par exemple, à Deutsche Bank et à certaines banques italiennes, désormais privées d’un secours étatique. Continuer la lecture…