Le pari à 17.000 milliards de dollars
Depuis le début de cette crise, j’ai défendu l’intuition de la nécessité d’une inflation. Il fallait « monétiser » la crise par une dilution des dettes. Certains pays (Etats-Unis, Royaume-Uni et Japon) l’ont fait. La zone euro a fait un autre choix, celui de la monnaie désinflatée. Continuer la lecture…