Le 30 décembre dernier, des consultations au plus haut niveau ont eu lieu entre l’UE et la République populaire de Chine, au cours desquelles l’UE était représentée par Charles Michel et Ursula von der Leyen et la Chine par son dirigeant communiste-capitaliste Xi Jin Ping. L’accord qui a été conclu est le résultat d’un processus qui a déjà commencé et qui, dans la mesure du possible avec un pays comme la Chine, tente de parvenir à des accords sur le papier. Il va sans dire que les deux blocs de pouvoir, l’UE et la Chine, ont tous deux intérêt à ce que les relations commerciales soient quelque peu normalisées, dans lesquelles l’UE doit fermer les yeux de temps en temps (pensez aux récents développements à Hong Kong et à la peine de prison infligée à l’avocate qui a fait quelques enregistrements à Wu Han avec son téléphone au début de la pandémie de corona) en rapport avec les intérêts économiques, entre autres, de l’industrie automobile allemande, comme cela est devenu évident pendant la présidence allemande de l’UE au cours des six derniers mois. Voici les principales questions et réponses qui ressortent de l’accord. Continuer la lecture…
L’incertitude économique a provoqué la tempête parfaite de risques imbriqués décrits dans l’édition de l’année dernière du Risk in Focus in new directions in 2023….
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