Kristel Cools
Durant les derniers mois de 2016, les femmes d’affaires françaises ont été particulièrement sollicitées. En effet, depuis le 1er janvier 2017, les grandes entreprises françaises (celles qui comptent plus de 500 salariés et dont le chiffre d’affaires annuel est supérieur à 50 millions d’euros) doivent compter au moins 40 % de femmes au sein de leur conseil d’administration. Les entreprises qui ne respectent pas ce quota risquent des sanctions, comme le blocage de toute nouvelle nomination masculine et le gel des rémunérations de tous les administrateurs. Continuer la lecture…